J'ai
demandé à la vie de me donner la force:
Elle
m'a donné des épreuves à traverser....
J'ai
demandé à la vie de me donner la sagesse:
elle
m'a donné des problème à résoudre...
J'ai
demandé à la vie de me donner la richesse:
elle m'a donné un
cerveau et deux bras pour travailler...
J'ai demandé à la vie de
me donner du courage:
Elle m'a donné des défis à
relever...
J'ai demandé à la vie de me donner de l'amour:
elle
à mit sur mon chemin des gens difficile à comprendre...
J'ai
demandé à la vie de me faire des faveurs:
elle m'a donné des
opportunités...
Dans ma vie, je n'ai rien reçu ce que j'ai
demandé
mais j'ai toujours obtenu la FORCE de me RELEVER de
toutes épreuves !
Mon combat continue, tant que j'ai la force de me battre, de vivre, de survivre, ne pas me résigner, mais m'indigner et m'engager à fond de ce que j'entreprend.
Je fais partie de la France, sans voix, de la France qui souffre, du peuple qu'on laisse sur le bord de la route.
Envie
de tout reprendre à zéro!!!!
Après
un divorce ou une séparation, l’envie est souvent grande de
déclarer que c’est le moment où jamais de recommencer sa vie.
Pourtant, l’idée même de « refaire sa vie » ou de « repartir à
zéro » est en soi une illusion, puisque le passé ne s’efface
pas. La vie va se poursuivre, tout simplement. Chacun a malgré tout
entre ses mains le pouvoir de lui donner une orientation
différente. Il n’est sans doute pas possible d’éviter
totalement de refaire des erreurs, mais autant profiter de cette
expérience douloureuse pour ne pas refaire les mêmes.
Prendre
son temps et dresser le bilan de ses erreurs.
Pour pouvoir
démarrer une autre tranche de vie, encore faut-il avoir réalisé le
deuil de la relation passée. En réalité, la façon dont une
séparation survient importe peu : qu’elle soit décidée d’un
commun accord ou à l’initiative d’un seul, elle reste une
situation de crise qui vient bouleverser chacun des deux
ex-conjoints.L’enjeu n’est pas seulement psychologique mais aussi
matériel et tangible. De la recherche d’un nouvel appartement,
parfois d’un travail, jusqu’à l’organisation de la garde des
enfants, le divorce a des répercussions très concrètes qu’il va
falloir apprivoiser lentement.
Se familiariser avec cette
nouvelle réalité, évacuer ses blocages et renouer avec sa propre
identité demande alors du temps, variable d’un individu à
l’autre. En la matière, il n’y a jamais de « norme ». Les
émotions vont se bousculer, allant du déni à la tristesse, en
passant par la colère. Parfois, elles s’entremêlent, semblent
disparaître pour ressurgir avec la même force à l’occasion d’un
doute ou d’une déception.
Il n’y a pas de recette miracle
pour franchir ce cap, chacun avançant à son propre rythme. Se
laisser la possibilité de prendre du recul est une étape
indispensable pour parvenir à un équilibre. Il ne s’agit pas de
dresser simplement un constat d’échec du couple, mais d’en
déceler les raisons cachées. Quelles ont été les causes profondes
qui ont abouti à la séparation ? Il n’est pas rare que les
disputes ou le manque de communication du couple ne soient que la
partie apparente d’un mal-être ou de frustrations enfouies. Il
arrive notamment que l’époux qui a sacrifié sa carrière pour
privilégier l’éducation des enfants vive mal cette relation de
dépendance financière et finisse par la reprocher, même
inconsciemment, à son conjoint. Les conflits qui éclatent sur des
sujets quotidiens ne sont alors que le révélateur d’une fracture
au sein du couple.
Pour se projeter avec sérénité dans
l’avenir, et peut-être renouer avec le plaisir de la vie à deux,
il faut alors partir sur des bases plus saines, en ayant déterminé
au préalable ses souhaits, ses besoins, et ses
aspirations.
Accepter le changement et s’ouvrir aux
autres
Une rupture implique nécessairement une période
transitoire pendant laquelle il va falloir se réapproprier son
nouveau « soi » : l’environnement relationnel se transforme, et
avec lui, la perception de sa propre identité. Plutôt que de
sombrer dans le ressentiment, il est alors important d’accepter les
évènements comme étant les étapes nécessaires de sa propre
transformation. Quitte à se faire accompagner par un psychologue
pour arriver à envisager l’avenir et pouvoir exprimer à haute
voix son état émotionnel.
LE CHOMAGE, ce phénomène massif qui devrait être mieux vécu qu'auparavant, car il touche plus de monde et plus souvent, mais c'est le contraire. Jusque dans les années 80, on valorisait des connaissances, des compétences, un savoir-faire, donc, lorsque l'on perdait son emploi, on n'était pas remis en cause personnellement.
Aujourd'hui, les entreprises demandent un investissement subjectif : de la disponibilité, de la réactivité, de l'enthousiasme, mobilité, flexibilité, dynamisme... Donc, quand on perd son emploi, on se sent disqualifié en tant qu'individu et plus seulement comme travailleur.
Car aujourd'hui les entreprises pratiquent le "management émotionnel", elles individualisent beaucoup la gestion de leurs salariés. D'un côté, cela valorise l'individu, mais d'un autre côté, les exigences sont telles que seule une petite partie de la population peut remplir ces critères : les seniors, par exemple, sont moins enthousiastes, moins mobiles, moins flexibles que les jeunes. Les pères de famille, moins disponibles que les célibataires... et du coup, quand on prive la personne de son travail, elle est directement et individuellement remise en cause.
Le conjoint et les enfants peuvent vivre ce chômage comme une disqualification de leur conjoint, père, mère... Et puis, c'est très difficile aujourd'hui de dire en société que son mari ou père est au chômage. En début d'année, à l'école, il faut remplir une feuille de renseignement : c'est dur d'écrire "papa au chômage".
Du coup, il peut y avoir un malaise qui s'installe. Et si le chômage dure, on peut commencer à douter des capacités de la personne à trouver sa place dans la société. Et puis, le niveau de vie baisse et celui des enfants aussi (argent de poche, vacances, sorties...).
Il y a quelques années, la souffrance du chômeur était prise en charge par des collectifs : syndicats, collectifs de travailleurs... où la personne pouvait partager, se battre, échanger, comprendre. Aujourd'hui, le chômeur est isolé et a le sentiment que c'est lui qui n'est pas à la hauteur de la société.
La famille est la seule dimension de protection qui reste, le seul endroit où puiser ses ressources, mais est-ce vraiment son rôle ?
Avant, la femme ne travaillait pas ou peu, donc, quand le mari se retrouvait au chômage, cela engendrait des problèmes financiers. Aujourd'hui, la situation est très différente : la femme travaille et le problème n'est plus en termes de finances mais en termes d'image.
Et puis, bien sûr, il y a une précarisation, un avenir incertain qui s'invite à la table du couple. On passe d'un horizon de certitudes, où on peut programmer sa vie et celles de ses enfants, à une autre dimension, où tout devient de l'ordre de la précarité, de l'incertain et du danger.
Il faut le reconnaître, le chômage détruit la vie de beaucoup de familles, déchire des couples, crée des alcooliques, déclenche des cancers, des dépressions... Et le mode de vie lui-même a changé. Les familles ne peuvent plus vivre comme avant, la mobilité est devenue indispensable : pour évoluer, faire carrière ou simplement travailler, il faut accepter de bouger.
C'est le déracinement permanent qui n'est pas sans effet sur le rapport au monde des enfants. Qu'est-ce que l'on devient quand on ne peut s'ancrer nulle part ? Qui est-on ? Quelle relation a-t-on au monde et à ceux qui nous entourent ?
Un chômeur est une personne qui peut et veut travailler mais ne trouve pas d'emploi.
La durée du chômage s' accroît ce qui augmente les difficultés de réinsertion.Les jeunes et les femmes sont les plus touchés.Baisse importante de l'emploi dans l'agriculture surtout, mais aussi l'industrie.Les ouvriers et les employés sont plus touchés que les cadres et les professions intermédiaires.Le taux de chômage diminue selon l'élévation du diplôme.Les emplois précaires (emplois à durée limitée) risquent s'ajouter aux demandeurs d'emploi.
Les causes économiques du chômage.
Le progrès technique et l'évolution de la productivité (plus de machines mois d'hommes).La crise économique et le ralentissement de la croissance. (secteurs en récession...)Les délocalisations d'entreprise et la concurrence des pays à faible coût de main-d'oeuvre.Les causes démographiques.L'évolution démographique (des tranches d'âge; plus d'arrivants que de partants sur le marché).facteur sociologique avec le développement du travail féminin..Le chômage d'incohérence (coexistence du chômage et pénurie de main d'oeuvre).formation professionnelle insuffisante ou inadaptée,refus des demandeurs d'occuper certains emplois (peu de mobilité géo. ou profes.).
Les conséquences pour l'individu.Perte de revenu (partiellement compensé par diverses allocations), baisse du pouvoir d'achat.Sentiment d'exclusion, difficultés psychologiques pour un premier emploi ou un réemploi.
La photo de mes recherches et de mes réponses.......Sans oublier les candidatures par internet sur des sites d'entreprises, des sites de recrutements, des sites agences interim etc.......
ARRÊTONS DE DIRE QUE TOUS LES PRIVES D'EMPLOIS SONT DES FAINEANTS DES ASSISTES; NE PAS EN FAIRE UNE GENERALITE , une minorité seulement profite du système ou fraude le système.
J'ai cotisé pendant plus de 25 ans de travail, et pourtant mon combat continu
Commentaires
1. christineb le 01-01-2016 à 18:18:37 (site)
Bon courage pour votre projet. On n'efface pas le passé mais on n'est pas obligé de le répéter! Bonne année.
2. biquette le 04-01-2016 à 17:40:22 (site)
Bonjour et oui il faut essayer de refaire surface et de recommençer sur d'autres bases , bon courage a+++Lili